Porto - Santo
Nous avons donc quitté la Méditerranée aprés notre escale de Gibraltar pour l’océan Atlantique , et cap sur Porto Santo et Madére.
Navigation de 3 jours et demi, avec vents forts mais portants pour atteindre Porto Santo.
Cette petite île volcanique, située à environ 80 Kms au nord-est de Madére est réputée pour sa longue plage de sable de 7kms, doré et fin. C’est un lieu de villégiature pour les Madériens qui y viennent passer le we. Y résident environ 4000 habitants qui vivent essentiellement du tourisme et de la pêche.
Elle appartient au Portugal depuis 1418, et son nom lui a été donné en reconaissance des navigateurs qui y avaient trouvé refuge après une forte tempête en mer.
Le fameux Christophe Colomb y a vécu et a même épousé la fille du gouverneur.
Le tour de l’ile est vite accompli en voiture , mais permet d’admirer des superbes point de vues sur cette île rongée par le vent et la mer, pratiquement sans végétation et dont le point culminant est le Pico de Facho à 541m. Côté pratique, on y trouve tout ce dont nous avons besoin en termes de ravitaillement ainsi que d’excellents restaurants.
Notre vie à bord a trouvé son rythme, ponctuée par les quarts de nuit en navigation, les siestes, la cuisine, le nettoyage du bateau, la lecture.
Pas vraiment de restrictions sur les douches, sur l’electricite pour le pain grillé du matin, Bref, c’est un Amel, monsieur !
Pour en revenir à notre escale, le mouillage fut du genre animé. Ne pouvant nous amarrer aux pontons du fait dE mobilité réduite ( panne de propulseur) et places très étroites, nous avons été contraints de mouiller dans l’avant-port, sur bouée. Après quelques dizaines de minutes, l’amarre de la bouée a cassé net. Par chance, nous étions encore à bord. Après info auprès des autorités, ils n’avaient pas changé toutes les amarres et celle-ci avait plus de 20 ans ! Nous en avons enfin trouvé une qui semblait neuve et par précaution , nous avons doublé avec le mouillage du bateau. Bien nous en a pris , car depuis notre arrivée nous encaissons des rafales extrêmement violentes de vent catabatique. Le spectacle était aussi dns la rade car nous avons assisté à des « salades d’ancres « entre des voiliers dérapant de leurs mouillages.
Prochaine étape : Madère
Navigation de 3 jours et demi, avec vents forts mais portants pour atteindre Porto Santo.
Cette petite île volcanique, située à environ 80 Kms au nord-est de Madére est réputée pour sa longue plage de sable de 7kms, doré et fin. C’est un lieu de villégiature pour les Madériens qui y viennent passer le we. Y résident environ 4000 habitants qui vivent essentiellement du tourisme et de la pêche.
Elle appartient au Portugal depuis 1418, et son nom lui a été donné en reconaissance des navigateurs qui y avaient trouvé refuge après une forte tempête en mer.
Le fameux Christophe Colomb y a vécu et a même épousé la fille du gouverneur.
Le tour de l’ile est vite accompli en voiture , mais permet d’admirer des superbes point de vues sur cette île rongée par le vent et la mer, pratiquement sans végétation et dont le point culminant est le Pico de Facho à 541m. Côté pratique, on y trouve tout ce dont nous avons besoin en termes de ravitaillement ainsi que d’excellents restaurants.
Notre vie à bord a trouvé son rythme, ponctuée par les quarts de nuit en navigation, les siestes, la cuisine, le nettoyage du bateau, la lecture.
Pas vraiment de restrictions sur les douches, sur l’electricite pour le pain grillé du matin, Bref, c’est un Amel, monsieur !
Pour en revenir à notre escale, le mouillage fut du genre animé. Ne pouvant nous amarrer aux pontons du fait dE mobilité réduite ( panne de propulseur) et places très étroites, nous avons été contraints de mouiller dans l’avant-port, sur bouée. Après quelques dizaines de minutes, l’amarre de la bouée a cassé net. Par chance, nous étions encore à bord. Après info auprès des autorités, ils n’avaient pas changé toutes les amarres et celle-ci avait plus de 20 ans ! Nous en avons enfin trouvé une qui semblait neuve et par précaution , nous avons doublé avec le mouillage du bateau. Bien nous en a pris , car depuis notre arrivée nous encaissons des rafales extrêmement violentes de vent catabatique. Le spectacle était aussi dns la rade car nous avons assisté à des « salades d’ancres « entre des voiliers dérapant de leurs mouillages.
Prochaine étape : Madère
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