Lanzarote
Lanzarote , au nord est de l’archipel canarien, a été longtemps délaissée par le tourisme au profit de Gran Canaria et Ténérife.
Cette île magnifique d’environ 846 km2 est essentiellement volcanique avec plus de 300 cônes volcaniques. Les derniéres éruptions sont très récentes, ayant eu lieu respectivement de 1730 à 1736 et en 1824. Celle de 1730 a impacté 215 km2 dans la partie sud-ouest laissant un paysage lunaire où rien ne pousse et qui n’est qu’un amas gigantesque de morceaux de lave . Les autorités ont créé un parc naturel dont la visite est très intéressante, puisque on circule en bus à travers les différents cônes volcaniques. Imaginez un paysage labouré par un soc de titan sur des centaines d’hectares.
Au nord de l’ile, entre un cône de volcan et la mer, se trouve une galerie souterraine la Cueva de los Verdes, d’environ 6 kms dans laquelle la lave en fusion coulait pour se déverser dans la mer. On peut en visiter une partie et on ressent vraiment l’impression d'être dans les entrailles de la terre.
Autre particularité de l’ile , la culture de vignes. Le mode de culture est très original , chaque cep de vigne étant planté dans une sorte d’entonnoir de plusieurs mètres de profondeur, creusé dans la cendre volcanique. Au bord du trou, un muret de pierre sèche appelé « zoco » est édifié en arc de cercle pour protéger la vigne du vent presque omniprésent. Cette technique permet une bonne absorption de l’eau de pluie grâce à la cendre volcanique et la qualité des vins est exceptionnelle.
L’architecture de l’ile a été particulièrement préservée grâce en partie à l’influenc de l’architecte- peintre César Manrique (1919-1996) qui natif de l’ile , y a construit des monuments originaux associant toujours le milieu naturel et la lave.
Côté tourisme, il est essentiellement concentré sur le sud de l’ile avec visiblement une clientéle rose et grasse venant de l’Europe du Nord. Les après-midi , on peut aussi participer à des thés dançants animés avec une musique reprenant les succés des sixties. C’est le côté «jardin des hesperides « !
Cette île magnifique d’environ 846 km2 est essentiellement volcanique avec plus de 300 cônes volcaniques. Les derniéres éruptions sont très récentes, ayant eu lieu respectivement de 1730 à 1736 et en 1824. Celle de 1730 a impacté 215 km2 dans la partie sud-ouest laissant un paysage lunaire où rien ne pousse et qui n’est qu’un amas gigantesque de morceaux de lave . Les autorités ont créé un parc naturel dont la visite est très intéressante, puisque on circule en bus à travers les différents cônes volcaniques. Imaginez un paysage labouré par un soc de titan sur des centaines d’hectares.
Au nord de l’ile, entre un cône de volcan et la mer, se trouve une galerie souterraine la Cueva de los Verdes, d’environ 6 kms dans laquelle la lave en fusion coulait pour se déverser dans la mer. On peut en visiter une partie et on ressent vraiment l’impression d'être dans les entrailles de la terre.
Autre particularité de l’ile , la culture de vignes. Le mode de culture est très original , chaque cep de vigne étant planté dans une sorte d’entonnoir de plusieurs mètres de profondeur, creusé dans la cendre volcanique. Au bord du trou, un muret de pierre sèche appelé « zoco » est édifié en arc de cercle pour protéger la vigne du vent presque omniprésent. Cette technique permet une bonne absorption de l’eau de pluie grâce à la cendre volcanique et la qualité des vins est exceptionnelle.
L’architecture de l’ile a été particulièrement préservée grâce en partie à l’influenc de l’architecte- peintre César Manrique (1919-1996) qui natif de l’ile , y a construit des monuments originaux associant toujours le milieu naturel et la lave.
Côté tourisme, il est essentiellement concentré sur le sud de l’ile avec visiblement une clientéle rose et grasse venant de l’Europe du Nord. Les après-midi , on peut aussi participer à des thés dançants animés avec une musique reprenant les succés des sixties. C’est le côté «jardin des hesperides « !
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