Las Palmas - Départ vers Cap-Vert
Les caprices de la météo ont quelque peu modifié notre programme initial. Nous devions quitter Ténérife pour nous arrêter 2 jours à l’ile de La Gomera puis filer sur le Cap-Vert. Une dépression assez basse s’est installée, nous barrant la route. Décision fut alors prise d’aller à la découverte de Las Palmas. Gran Canaria, troisième île des Canaries par sa taille, abrite la moitié de la population et la capitale regroupe 350000 hab sur les 810000 que compte l’ile.
Cette ville, qui est la 7e d’Espagne, ne présente pas beaucoup d’interets touristiquement parlant, mais est dotée de tous les équipements d’une grande ville moderne : théâtres, commerces et des voies de circulation en bord de mer qui n’ont rien à envier aux voies sur berge de Paris !
La marina, bien que placée géographiquement au centre de la ville qui s’etend sur 5 km2 de long, impose de longues marches pour rejoindre les points d’interet.
Le centre de l’ile, composé de hautes montagnes avec le Pozo de las nieves culminant à 1949 m, est beaucoup moins spectaculaire que Ténérife.
Par contre, il y a beaucoup plus de jolis villages avec des centres historiques bien restaurés et typiques de l’architecture Canarienne avec ses patios et balcons en bois sculpté. Un des plus beaux village s’appelle Terror qui est un lieu de pèlerinage en hommage à la vierge del pino, patronne de la grande canarie. La légende veut que la Vierge ait été aperçue en haut d’un pin dans la forêt voisine au XV e.
Nous n’avons pas visité le sud de l’ile, qui regroupe l’architecture typique des blocs en béton pour touristes qui semble t’il viennent essentiellement de l’europe du nord. Il suffit de regarder le tableau des départs et arrivée de l’aeroport pour s’en convaincre. C’est aussi un haut lieu de fête pour les gays et les oiseaux de nuit.
La destination semble être aussi très prisée par les croisiéristes puisque nous avons compté jusqu’à 4 bateaux différents par jour faisant escale dont certains ressemblant plus à des barres d’HLM.
Cette escale nous a aussi permis de procéder à quelques réparations sur Kamada et de transformer Georgy en mécano professionnel. Joël, lui a pu tester l’efficacité des services médicaux suite à des problèmes gastriques, heureusement sans conséquence pour la suite du voyage.
Rencontres aussi intéressantes d’équipages en partance pour les Antilles. Jean a d’ailleurs retrouvé l’ancien bateau de Michel Malinovski avec qui il avait traversé l’atlantique.
Les pleins sont faits, les frigos tournent, prochaines nouvelles à notre arrivée au cap vert prévue dimanche 3 décembre.
Cette ville, qui est la 7e d’Espagne, ne présente pas beaucoup d’interets touristiquement parlant, mais est dotée de tous les équipements d’une grande ville moderne : théâtres, commerces et des voies de circulation en bord de mer qui n’ont rien à envier aux voies sur berge de Paris !
La marina, bien que placée géographiquement au centre de la ville qui s’etend sur 5 km2 de long, impose de longues marches pour rejoindre les points d’interet.
Le centre de l’ile, composé de hautes montagnes avec le Pozo de las nieves culminant à 1949 m, est beaucoup moins spectaculaire que Ténérife.
Par contre, il y a beaucoup plus de jolis villages avec des centres historiques bien restaurés et typiques de l’architecture Canarienne avec ses patios et balcons en bois sculpté. Un des plus beaux village s’appelle Terror qui est un lieu de pèlerinage en hommage à la vierge del pino, patronne de la grande canarie. La légende veut que la Vierge ait été aperçue en haut d’un pin dans la forêt voisine au XV e.
Nous n’avons pas visité le sud de l’ile, qui regroupe l’architecture typique des blocs en béton pour touristes qui semble t’il viennent essentiellement de l’europe du nord. Il suffit de regarder le tableau des départs et arrivée de l’aeroport pour s’en convaincre. C’est aussi un haut lieu de fête pour les gays et les oiseaux de nuit.
La destination semble être aussi très prisée par les croisiéristes puisque nous avons compté jusqu’à 4 bateaux différents par jour faisant escale dont certains ressemblant plus à des barres d’HLM.
Cette escale nous a aussi permis de procéder à quelques réparations sur Kamada et de transformer Georgy en mécano professionnel. Joël, lui a pu tester l’efficacité des services médicaux suite à des problèmes gastriques, heureusement sans conséquence pour la suite du voyage.
Rencontres aussi intéressantes d’équipages en partance pour les Antilles. Jean a d’ailleurs retrouvé l’ancien bateau de Michel Malinovski avec qui il avait traversé l’atlantique.
Les pleins sont faits, les frigos tournent, prochaines nouvelles à notre arrivée au cap vert prévue dimanche 3 décembre.
Commentaires
Enregistrer un commentaire