Arrivée au Cap Vert
Comme promis, ayant retrouvé internet, voici quelques nouvelles fraîche de Kamada.
Notre traversée pour couvrir les 800 miles qui nous séparent des Canaries au Cap Vert a été bouclée en 5 jours. Pendant les premières 48 h, très peu de vent ce qui nous a obligé à naviguer au son du moteur. Puis , la légère brise s’est renforcée petit à petit au large de la Mauritanie et nous a permis de faire une belle navigation , voiles d’avant en ciseau et artimon. Nous étions plein vent arrière avec une houle assez creusée et forte à l’approche de l’ile de Sal . Cette houle a d’ailleurs été à l’origine d’un vol plané de Georgy et de quelques contusions aux côtes. La radio effectuée à l’hopital de Sal confirmera qu’il n’y a pas de fractures.
Le contraste à l’arrivée avec les Canaries est saisissant : un univers à part, une impression d’être hors du monde, et retour à l’authenticité, la vraie !
Petit rappel géographique : le Cap Vert est situé à 450 Kms à l’ouest du Sénégal et est composé de 10 iles, dont 9 sont habitées. L’archipel est surprenant et envoûtant. Chaque île est différente des autres.
Revenons à Sal. C’est la seule île plate et son point culminant est un ancien volca, le Monte Grande qui culmine à 406m, et constitue un bon amer quand on arrive du large.
Le paysage est nu, aride et sec, bordé par de magnifiques plages de sable fin. L’eau y est rare et il n’y pleut quasiment jamais, une semaine tout au plus par an.
L’ile ne comporte pas vraiment de lieux à visiter si ce n’est les salines de Pedra de Lume. Installées à l’interieur d’un volcan, elles ont été exploitées jusqu’à l’independance du cap vert par les salins du midi. Toutes les installations sont encore présentes et donnent l’impression que le temps s’est arrêté.
Le cap vert , c’est aussi la gentillesse des locaux, sourire permanent aux lèvres et accueil chaleureux.
La population est assez métissée, résultat de mélanges entre Afrique et Portugal principalement, certaines îles ayant été plus marquées par une population d’esclaves à la fin du XV e.
Notre traversée pour couvrir les 800 miles qui nous séparent des Canaries au Cap Vert a été bouclée en 5 jours. Pendant les premières 48 h, très peu de vent ce qui nous a obligé à naviguer au son du moteur. Puis , la légère brise s’est renforcée petit à petit au large de la Mauritanie et nous a permis de faire une belle navigation , voiles d’avant en ciseau et artimon. Nous étions plein vent arrière avec une houle assez creusée et forte à l’approche de l’ile de Sal . Cette houle a d’ailleurs été à l’origine d’un vol plané de Georgy et de quelques contusions aux côtes. La radio effectuée à l’hopital de Sal confirmera qu’il n’y a pas de fractures.
Le contraste à l’arrivée avec les Canaries est saisissant : un univers à part, une impression d’être hors du monde, et retour à l’authenticité, la vraie !
Petit rappel géographique : le Cap Vert est situé à 450 Kms à l’ouest du Sénégal et est composé de 10 iles, dont 9 sont habitées. L’archipel est surprenant et envoûtant. Chaque île est différente des autres.
Revenons à Sal. C’est la seule île plate et son point culminant est un ancien volca, le Monte Grande qui culmine à 406m, et constitue un bon amer quand on arrive du large.
Le paysage est nu, aride et sec, bordé par de magnifiques plages de sable fin. L’eau y est rare et il n’y pleut quasiment jamais, une semaine tout au plus par an.
L’ile ne comporte pas vraiment de lieux à visiter si ce n’est les salines de Pedra de Lume. Installées à l’interieur d’un volcan, elles ont été exploitées jusqu’à l’independance du cap vert par les salins du midi. Toutes les installations sont encore présentes et donnent l’impression que le temps s’est arrêté.
Le cap vert , c’est aussi la gentillesse des locaux, sourire permanent aux lèvres et accueil chaleureux.
La population est assez métissée, résultat de mélanges entre Afrique et Portugal principalement, certaines îles ayant été plus marquées par une population d’esclaves à la fin du XV e.
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