Spécial Carnaval
Parler de Carnaval au Brésil, c’est évoquer une tradition ancrée depuis bien longtemps dans la culture profonde de ce pays.
Les trois principaux sont ceux de Salvador, de Rio et d’Olinda ( Récîfe ).
Ils sont tous les trois différents, et je ne connais que celui de Salvador, qui passe pour être le carnaval le plus populaire du monde.
Ici, pas de défilés organisés des écoles de samba comme à Rio, mais une démesure de musique dans toute la vIlle avec en particulier le passage des « blocos « , qui sont des groupes musicaux ou des vedettes trés connues, suivis de leurs milliers de fans.
Ils sont juchés sur d’énormes camions avec leur orchestre et un matériel de sono à réveiller les morts.
Ils avancent , les uns à la suite des autres, sur un circuit bien déterminé, qui sont les principales avenues de la ville.J’ai pu tester cela en suivant le bloc de Claudia Leitte , la Céline Dion du Brésil.
Aucune autre alternative que de suivre le mouvement car on est serré comme dans une boîte de sardines, et il est quasiment impossible d’en sortir ou de faire marche arriéré tellement la densité de personnes est grande.
Les tenues sont trés légéres car la chaleur monte vite, et surtour rien dans les poches. Les quelques biens ( argent ou portable) sont dans les slips ou dans les soutien-gorge.
Seul échappatoire : tenter une sortie latérale aux croisement de rue, manœuvre périlleuse !
Tous les 10 métres , des marchands ambulants vendant de la biére, et les principales marques se font une concurrence acharnée, les vitrines des boutiques e des banques sont protégées par de grands panneaux de bois et la police est omniprésente.
Dans le quartier historique Pelhourinho, quelques écoles de samba défilent les unes aprés les autre, marquées fortement par une influence Afro.
Côté ambiance, il faut imaginer plus de 2 millions de personnes dans la rue, et ce pendant 5 jours. Tous les commerces sont fermés ainsi que toutes les administrations. Au bout des 5 jours d’exhuberance, la reprise est parait’il assez dure !
Au fait, qu’est ce que le carnaval ?
Il semblerait que cette fête soit aussi vieille que la nuit des temps. Tout d’abord païenne, elle consistait sous les RomaIns à fêter Saturne, et libres , affranchis et esclaves se mélangeaient pendant cette courte période. Étymologiquement, carnaval viendrait du mot latin « carnelevare « qui signifie « viande « et « enlever « .
Puis la religion catholique a intégré cet évenement en instaurant quelques jours de féte avant le mercredi des cendres ouvrant la période de carėme juqu’à Pâques.
Pas de photos à vous proposer car il serait fou de sortir un apppareil dans cette foule et de plus, mon appareil a rendu l’âme à cause de la pluie....
Les trois principaux sont ceux de Salvador, de Rio et d’Olinda ( Récîfe ).
Ils sont tous les trois différents, et je ne connais que celui de Salvador, qui passe pour être le carnaval le plus populaire du monde.
Ici, pas de défilés organisés des écoles de samba comme à Rio, mais une démesure de musique dans toute la vIlle avec en particulier le passage des « blocos « , qui sont des groupes musicaux ou des vedettes trés connues, suivis de leurs milliers de fans.
Ils sont juchés sur d’énormes camions avec leur orchestre et un matériel de sono à réveiller les morts.
Ils avancent , les uns à la suite des autres, sur un circuit bien déterminé, qui sont les principales avenues de la ville.J’ai pu tester cela en suivant le bloc de Claudia Leitte , la Céline Dion du Brésil.
Aucune autre alternative que de suivre le mouvement car on est serré comme dans une boîte de sardines, et il est quasiment impossible d’en sortir ou de faire marche arriéré tellement la densité de personnes est grande.
Les tenues sont trés légéres car la chaleur monte vite, et surtour rien dans les poches. Les quelques biens ( argent ou portable) sont dans les slips ou dans les soutien-gorge.
Seul échappatoire : tenter une sortie latérale aux croisement de rue, manœuvre périlleuse !
Tous les 10 métres , des marchands ambulants vendant de la biére, et les principales marques se font une concurrence acharnée, les vitrines des boutiques e des banques sont protégées par de grands panneaux de bois et la police est omniprésente.
Dans le quartier historique Pelhourinho, quelques écoles de samba défilent les unes aprés les autre, marquées fortement par une influence Afro.
Côté ambiance, il faut imaginer plus de 2 millions de personnes dans la rue, et ce pendant 5 jours. Tous les commerces sont fermés ainsi que toutes les administrations. Au bout des 5 jours d’exhuberance, la reprise est parait’il assez dure !
Au fait, qu’est ce que le carnaval ?
Il semblerait que cette fête soit aussi vieille que la nuit des temps. Tout d’abord païenne, elle consistait sous les RomaIns à fêter Saturne, et libres , affranchis et esclaves se mélangeaient pendant cette courte période. Étymologiquement, carnaval viendrait du mot latin « carnelevare « qui signifie « viande « et « enlever « .
Puis la religion catholique a intégré cet évenement en instaurant quelques jours de féte avant le mercredi des cendres ouvrant la période de carėme juqu’à Pâques.
Pas de photos à vous proposer car il serait fou de sortir un apppareil dans cette foule et de plus, mon appareil a rendu l’âme à cause de la pluie....
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